Entre l’île de Tioman et les Perenthians, nous faisons un arrêt au Taman Negara afin de voir la plus vieille fôret tropicale du monde. À l’idée de nous rendre là-bas nous sommes tout excités et nous imaginons déjà le village perdu dans la forêt, entouré de verdure.
Après un périple de 2 jours, depuis Tioman, nous avons dû prendre un bus qui nous a déposés à Kuatan, impossible de reprendre un bus pour le parc. Nous sommes donc obligés de dormir sur place et de reprendre un bus le lendemain. Nous ne serons sereins qu’une fois dans le jungle bus. Manque de chance le jungle bus nous présente plutôt la triste réalité de la Malaisie, les champs de palmes. Partout, des hectares entiers de palmes destinés à la fabrication de l’huile. Nous essayons de nous mettre du baume au cœur en imaginant le parc, mais arrivés à Kuala Tahan la déception est là.
Le village est très sommaire, principalement des hôtels et guesthouse affichants tous complets et pas du tout dans la jungle. Une rivière, qui sépare le village du parc, se trouve en contrebas, est bordée de bateaux restaurants.
Nous nous rabattons sur un hôtel sans charme, mais proche de la rivière et nous commençons notre tournée des guides pour nous faire une idée des prix pour une randonnée d’une journée ou de deux jours et une nuit dans la jungle. Pas de chance, pour nous les prix proposés nous semblent un peu trop élevés.
Nous décidons de prendre une journée pour faire la randonnée balisée dans le parc et aviser ensuite.
Nous traversons la rivière le lendemain et nous acquittons du prix d’entrée dans le parc de 1RM chacun ainsi que de la taxe appareil photo de 5RM par appareil. Autant dire que nous avons payé uniquement pour mon appareil et non pour la go pro.
Ce que nous imaginions être une randonnée sur terre battue et en fait, une ballade sur un chemin aménagé. La ballade nous aura pris au moins 5 heures, en comptant le pont suspendu pour lequel nous rajoutons 5 RM par personne. Le pont commence à 10m de hauteur pour finir au plus haut à 20m. C’est impressionnant, mais vous ne verez aucun animal puisque maintenant trop touristique. La forêt est très dense et nous comprenons vite pourquoi il est déconseillé de s’y aventurer seul. Sur ce chemin aménagé se trouve de temps en temps des points de vue, où il faut certe être très patient, mais d’où il est possible de voir des animaux traverser l’endroit que vous observez.
Ouvrez les yeux, car voir des animaux est assez rare vu l’étendue du parc. Nous avons au moins eu la chance de voir un serpent et deux petits varans.
À la fin de cette après-midi, nous décidons de repartir pour les îles, avec un peu de déception sur le site et le regret de ne pas avoir pu faire 2 jours dans la jungle.
Après un périple de 2 jours, depuis Tioman, nous avons dû prendre un bus qui nous a déposés à Kuatan, impossible de reprendre un bus pour le parc. Nous sommes donc obligés de dormir sur place et de reprendre un bus le lendemain. Nous ne serons sereins qu’une fois dans le jungle bus. Manque de chance le jungle bus nous présente plutôt la triste réalité de la Malaisie, les champs de palmes. Partout, des hectares entiers de palmes destinés à la fabrication de l’huile. Nous essayons de nous mettre du baume au cœur en imaginant le parc, mais arrivés à Kuala Tahan la déception est là.
Le village est très sommaire, principalement des hôtels et guesthouse affichants tous complets et pas du tout dans la jungle. Une rivière, qui sépare le village du parc, se trouve en contrebas, est bordée de bateaux restaurants.
Nous nous rabattons sur un hôtel sans charme, mais proche de la rivière et nous commençons notre tournée des guides pour nous faire une idée des prix pour une randonnée d’une journée ou de deux jours et une nuit dans la jungle. Pas de chance, pour nous les prix proposés nous semblent un peu trop élevés.
Nous décidons de prendre une journée pour faire la randonnée balisée dans le parc et aviser ensuite.
Nous traversons la rivière le lendemain et nous acquittons du prix d’entrée dans le parc de 1RM chacun ainsi que de la taxe appareil photo de 5RM par appareil. Autant dire que nous avons payé uniquement pour mon appareil et non pour la go pro.
Ce que nous imaginions être une randonnée sur terre battue et en fait, une ballade sur un chemin aménagé. La ballade nous aura pris au moins 5 heures, en comptant le pont suspendu pour lequel nous rajoutons 5 RM par personne. Le pont commence à 10m de hauteur pour finir au plus haut à 20m. C’est impressionnant, mais vous ne verez aucun animal puisque maintenant trop touristique. La forêt est très dense et nous comprenons vite pourquoi il est déconseillé de s’y aventurer seul. Sur ce chemin aménagé se trouve de temps en temps des points de vue, où il faut certe être très patient, mais d’où il est possible de voir des animaux traverser l’endroit que vous observez.
Ouvrez les yeux, car voir des animaux est assez rare vu l’étendue du parc. Nous avons au moins eu la chance de voir un serpent et deux petits varans.
À la fin de cette après-midi, nous décidons de repartir pour les îles, avec un peu de déception sur le site et le regret de ne pas avoir pu faire 2 jours dans la jungle.
Comment peut on dire que l’on est en présence de la plus vieille forêt du monde? “l’une des” aurait été plus correct …. le même slogan existe dans la Daintree Forest en Australie, qui elle aussi est sûrement “l’une des” …
slogan touristique ! Bien trippant quand même, certes …..
En France aussi il y a des vieilles forêts, voir le site http://www.vieillesforets.com
Ce n’est peut être pas la seule et unique plus vieille forêt du monde il est vrai, cependant c’était notre première plus vieille forêt du monde à nous. Maintenant avec le voyage nous avons pu en découvrir d’autre des “plus vieilles forets du monde” et le fait est quelles sont toujours plus fascinantes les une que les autres.